Vos personnages

Hello tous, voici le sujet d'intro : le choix des persos.

Pour l'instant, on a :

- Pahul => Chef de guerre
- François => encore indécis, hésite sur un druide
- Jérémy => encore indécis, hésite sur un perso "sneaky"
- moi => encore indécis.

Je vais être absent (hosto) jusqu'à vendredi. J’emmène mon dossier Keltia. L’hôpital a de chouettes prises réseau qui ne fonctionnent pas et aucun réseau wi-fi captable (je me demande même s'il n'y a pas un brouilleur).
Par contre je suis joignable sur mon outil du 21è siècle au 07.83.13.26.16.
Je serai de retour vers 14h00 vendredi.

Je vais me lancer sur le druide. Je crois pas avoir jamais joué de personnage avec des pouvoirs magiques, ça me tente bien.

Je vais rester sur l'espion, un vicieux à tendance sadique c'est moi quand on m'a bouffé mes cookies donc je me mettrai facilement dans le personnage ^^

Ça me va très bien comme ça, j'avais peur que personne ne pratique la magie, ça aurait été un peu dommage
Je suis encore pas mal dans les cartons, pas eu beaucoup de temps pour me replonger dans la création de perso (d'ailleurs, faut que je retrouve le livre de règle pour demain soir ).
Ne reste plus que Phil à se décider

Bon au final pour faciliter les choses je vais je pense m'orienter vers un guerrier des clans, sans avec gros spécialité armes de trait/jet.

Voici l'histoire de Cowyll "Caer" Brannigan :

Je suis né dans le Lothian le jour du mariage de mes parents. Pour cela, ils m'ont nommé "don du matin".

J'ai été élevé pour devenir un guerrier, selon la tradition de mon clan. Lorsque mon village fût massacré par les Saxons, et que mes parents m'ont été enlevés, j'avais 11 ans seulement.

J'ai vécu comme un ermite pendant les 5 années qui ont suivi. Me nourrissant de pêche, de chasse, de cueillette ou de larcins.

C'est une tribu nomade qui m'a recueilli. Ils cherchaient des hommes forts pour se battre et mener des raids contre des villages ou des places peu défendues dont les greniers étaient pleins.

Durant mon séjour en leur sein, j'ai pu revivre le massacre de mon village natal de l'autre coté du miroir. Cela m'a beaucoup aidé. Cela m'a aidé à comprendre les motivations des pillards qui avaient massacré mes parents et de ce fait à accepter le fait que je sois orphelin. Il apparaît étrangement que le fait de comprendre pourquoi et comment tel évènement a pu faire de nous ce qu'on est est terriblement nécessaire pour pouvoir accepter sa nature.

Après un an de vie en roue libre au sein de ce clan, je décidai de me mettre à disposition du plus offrant et de lui offrir mes services. Je vendais la seule chose que je savais faire correctement : me battre. Je devins donc mercenaire.

Au cours de cette période de ma vie, j'ai vu à l’œuvre beaucoup de chefs de guerre différents et j'ai pu constater qu'ils avaient tous une façon de mener leur guerre qui dépendait de leurs croyances, de leurs cultures, de leurs origines et de leurs philosophies. J'ai beaucoup appris sur l'art de la guerre. Je me mis à apprendre à lire car je voulais lire "La Guerre des Gaules" de Jules César ou "L'Art de la Guerre" de Sun Tzu.

Après 5 ans de vie nomade, rythmée par les guerres et les massacres pour le compte de différents seigneurs de guerre, c'est lors d'un combat particulièrement acharné contre des Saxons que la tribu qui m'employait à l'époque distingua un talent particulier chez moi pour commander les hommes. En effet, après la mort de notre chef de troupe durant le combat, j'avais exhorté mon groupe et pris le commandement tacitement alors que leur moral flanchait. Et c'est ainsi qu'en tenant nos positions sur le flanc de l'ennemi nous avons permis au seigneur de guerre d'enfoncer le centre des positions ennemies et de gagner la bataille.

Le chef de guerre voulut me conserver dans son clan et le seigneur de la tribu m'adopta officiellement. C'est ainsi que je devins membre de cette tribu ... J'en deviendrais le chef de guerre.

Après maintes batailles et une vie faite de combat, j'ai aujourd'hui une famille et un statut social. Je conseille le chef de ma tribu pour les affaires militaires et je mène ses hommes au combat.
Son fils, amené à le remplacer quand l’heure viendra, et un compagnon d’arme que je suivrais où les batailles nous mènerons...